28 mar 2022
La rubrique “Nous sommes ClearFacts » évoque le vécu de nos employés. Pleins feux donc sur leurs débuts chez ClearFacts, sur le rôle qu’ils assurent, sur leur travail et leur caractère.
“Si nos développeurs posent peu de questions, c’est que j’ai fait du bon travail”
J’assiste notre Product Owner chargé de poursuivre le développement de l’application ClearFacts pour les comptables et leurs clients. Comme le suggère l’intitulé de mon poste, je travaille surtout sur la dimension fonctionnelle de l’application et les processus qui la sous-tendent. Le focus est mis sur la partie web de l’application, même si nous nous chargeons aussi de l’app mobile.
Actuellement, nous nous occupons principalement de perfectionner le module de l’impôt en personne physique, qui est entièrement intégré à la plateforme ClearFacts. L’an dernier, les comptables ont eu pour la première fois l’opportunité d’utiliser ce module pour simplifier les déclarations d’impôt en personne physique de leurs clients. Ces premières expériences utilisateur ont entretemps été intégrées au sein d’un workshop interne. Pour l’instant, nous poursuivons le développement et la mise en œuvre des points d’amélioration issus de cet exercice.
C’est l’analyse qui précède le développement effectif du logiciel. Je suis chargée de décrire la nouvelle fonctionnalité requise – ou une fonctionnalité existante qui exigerait certaines adaptations – de sorte que nos développeurs sachent exactement ce qu’ils doivent produire ou adapter. Pour ce faire, on recourt à une story, c’est-à-dire un scénario écrit qui incorpore de plus en plus d’éléments visuels, par exemple des captures d’écran. Afin de permettre aux développeurs de visualiser plus facilement encore nos analyses fonctionnelles, on fait de plus en plus appel à des techniques dites de conception UX, comme le wireframing et le prototypage, qui aident les développeurs à créer des expériences utilisateur optimales.
Je suis chargée de décrire la nouvelle fonctionnalité requise de sorte que nos développeurs sachent exactement ce qu’ils doivent produire.Patricia Maes
Après moins d’un mois de présence chez ClearFacts, j’ai su que le job était vraiment à ma mesure.Patricia Maes
Tout d’abord, et cela ne surprendra personne, il faut être capable de penser de manière analytique. Mais cela ne suffit pas. Il faut aussi être en mesure d’assumer d’autres tâches, parfois simultanément, ce qui suppose aussi des talents d’organisateur. Ensuite, il faut tester soi-même le travail fourni par les développeurs, ce qui nécessite un réel sens du détail. En tant que femme, peut-être ai-je d’ailleurs plus de prédispositions naturelles à cet égard. Enfin, il faut disposer de compétences communicationnelles suffisantes, notamment pour être à même de briefer valablement les développeurs, mais aussi parce qu’on se trouve forcément amené à côtoyer bon nombre de personnes différentes – par exemple, des collègues actifs dans d’autres domaines – depuis le support jusqu’à la communication – mais aussi les utilisateurs. L’éventail des tâches d’une analyste fonctionnelle est extrêmement varié. Mais c’est précisément cette variété qui me plaît dans ce travail, variété dont je ne pourrais d’ailleurs plus me passer.
Il y a d’abord eu les entretiens d’embauche, toute une expérience à eux seuls. Tout s’est déroulé dans Teams, ce qui n’a certes pas toujours facilité l’interaction. Pourtant, une demi-heure à peine après le dernier entretien, il y avait déjà une proposition de salaire dans ma boîte de réception. En fait, la procédure de recrutement s’est avérée étonnamment fluide et rapide.
Comme je vis de l’autre côté de la frontière, aux Pays-Bas, je reste encore soumise au régime des travailleurs transfrontaliers, ce qui, au départ, m’a valu quelques soucis administratifs côté télétravail et systèmes de recharge pour voitures de société électriques. Une solution a entretemps été trouvée. Je compte déménager bientôt en Belgique, ce qui renverra bien sûr ces quelques soucis aux oubliettes. Après moins d’un mois de présence chez ClearFacts, j’ai su que le job était vraiment à ma mesure. Et de fait, je me sens bien à ce nouveau poste, à tel point que je me suis même décidée à déménager. En plus de de me rapprocher de ma famille, cela me permettra enfin de discuter avec mes collègues de tous ces émissions des chaînes flamandes que je ne parviens pas à capter ici aux Pays-Bas. (rires)
Je me sens bien à ce nouveau poste, à tel point que je me suis même décidée à déménager.Patricia Maes